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samedi 16 janvier 2010

Pour modifier la taille du fichier d'échange de mémoire virtuelle

Vous devez être connecté en tant qu'administrateur de l'ordinateur pour effectuer cette procédure.
1. Dans le Panneau de configuration, ouvrez le composant Système.
2. Sous l'onglet Options avancées, sous Performances, cliquez sur Paramètres.
3. Sous l'onglet Options avancées, sous Mémoire virtuelle, cliquez sur Modifier.
4. Sous Lecteur [Volume Label], cliquez sur le lecteur qui contient le fichier d'échange que vous voulez modifier.
5. Sous Taille du fichier d'échange pour le lecteur sélectionné, cliquez sur Taille personnalisée, puis tapez dans la zone Taille initiale (Mo) ou Taille maximale (Mo) la nouvelle taille, exprimée en mégaoctets, puis cliquez sur Définir.
Si vous diminuez la taille initiale ou maximale du fichier d'échange, vous devez redémarrer votre ordinateur pour vous rendre compte des effets de ces modifications. Généralement, les augmentations de ces valeurs ne requièrent pas de redémarrage.
Remarques
• Pour ouvrir la fenêtre Système, cliquez sur Démarrer, puis sur Panneau de configuration, puis double-cliquez sur Système.
• Pour que Windows choisisse la taille de fichier d'échange optimale, cliquez sur Taille gérée par le système.
• Pour de meilleurs résultats, ne spécifiez pas de taille initiale inférieure à la taille recommandée figurant sous Taille totale du fichier d'échange pour tous les lecteurs. La taille recommandée équivaut à 1,5 fois la mémoire vive de votre système. Il est généralement conseillé de ne pas modifier la taille recommandée du fichier d'échange, mais vous pouvez l'augmenter si vous utilisez systématiquement des applications qui nécessitent un volume important de mémoire.
• Pour supprimer un fichier d'échange, attribuez la valeur zéro à la taille initiale et à la taille maximale, ou cliquez sur Aucun fichier d'échange. Microsoft recommande fortement de ne pas désactiver ni supprimer le fichier d'échange.

jeudi 14 janvier 2010

Sites de telechargements



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source: http://www.01net.com/telecharger/windows/Internet/navigateur/fiches/45352.html

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Virus informatique





Un virus informatique est un logiciel malveillant conçu pour se propager à d'autres ordinateurs en s'insérant dans des programmes légitimes appelés « hôtes ». Il peut perturber plus ou moins gravement le fonctionnement de l'ordinateur infecté. Il peut se répandre à travers tout moyen d'échange de données numériques comme les réseaux informatiques et les cédéroms, les clefs USB, etc.

Son appellation provient d'une analogie avec le virus biologique puisqu'il présente des similitudes dans sa manière de se propager en utilisant les facultés de reproduction de la cellule hôte. On attribue le terme de « virus informatique » à l'informaticien et spécialiste en biologie moléculaire Leonard Adleman (Fred Cohen, Experiments with Computer Viruses, 1984). Les virus informatiques ne doivent pas être confondus avec les vers informatiques, qui sont des programmes capables de se propager et de se dupliquer par leurs propres moyens sans contaminer de programme hôte. Au sens large, on utilise souvent et abusivement le mot virus pour désigner toute forme de logiciel malveillant.

Le nombre total de programmes malveillants connus serait de l'ordre 95 000 selon Sophos (tous types de malwares confondus). Cependant, le nombre de virus réellement en circulation ne serait pas supérieur à quelque milliers selon la Wildlist Organisation[1], chaque éditeur d'antivirus ayant intérêt à « gonfler » le nombre de virus qu'il détecte. La très grande majorité touche la plate-forme Windows. Bien qu'ils soient extrêmement peu nombreux, il existe aussi des virus sur les systèmes de type Unix/Linux[2], mais aucun n'est capable de se répandre ou de toucher un nombre significatif de postes. Le reste est essentiellement destiné à des systèmes d'exploitation qui ne sont plus distribués depuis quelques années, comme les 27 virus — aucun n'étant dangereux — frappant Mac OS 9 et ses prédécesseurs (recensés par John Norstad, auteur de l'antivirus Disinfectant).

Les virus font souvent l'objet de fausses alertes que la rumeur propage, encombrant les messageries. Certaines d'entre elles, jouant sur l'ignorance en informatique des utilisateurs, leur font parfois détruire des éléments de système d'exploitation totalement sains.

Historique

Les premiers logiciels autonomes n'avaient pas le but qu'ils ont aujourd'hui. Les tout premiers logiciels de ce type étaient de simples divertissements, un jeu entre trois informaticiens de la société Bell, Core War, créé en 1970 dans les laboratoires de la société. Pour ce jeu, chaque joueur écrit un programme, ensuite chargé en mémoire vive. Le système d'exploitation, qui se doit juste d'être multitâche, exécute tour à tour une instruction de chacun des logiciels. L'objectif du jeu est de détruire les programmes adverses tout en assurant sa propre prolifération. Les joueurs ne connaissent évidemment pas l'emplacement du programme adverse. Les logiciels sont capables de se recopier, de se réparer, de se déplacer eux-mêmes en différentes zones de la mémoire et « d'attaquer » le logiciel adverse en écrivant aléatoirement dans d'autres zones mémoire. La partie se termine au bout d'un temps défini ou lorsque l'un des joueurs voit tous ses programmes inactifs ou détruits. Le vainqueur est celui qui possède le plus grand nombre de copies actives. C'est exactement un des principes de programmation des virus.

En 1984, le magazine Scientific American a présenté un jeu informatique consistant à concevoir de petits programmes entrant en lutte et s'autoreproduisant en essayant d'infliger des dégâts aux adversaires, fondant ainsi les bases des futurs virus.

En 1986, l'ARPANET fut infecté à cause de Brain, un virus qui renommait toutes les disquettes de démarrage de système en (C)Brain. Les créateurs de ce virus y donnaient leur nom, adresse et numéro de téléphone car c'était une publicité pour eux.

Différents types de virus

* Le virus classique est un morceau de programme, souvent écrit en assembleur, qui s'intègre dans un programme normal, le plus souvent à la fin, mais aussi au début voire au milieu. Chaque fois que l'utilisateur exécute ce programme « infecté », il active le virus qui en profite pour aller s'intégrer dans d'autres programmes exécutables. De plus, lorsqu'il contient une charge utile, il peut, après un certain temps (qui peut être très long) ou un évènement particulier, exécuter une action prédéterminée. Cette action peut aller d'un simple message anodin à la détérioration de certaines fonctions du système d'exploitation ou la détérioration de certains fichiers ou même la destruction complète de toutes les données de l'ordinateur. On parle dans ce cas de « bombe logique » et de « charge utile ».

* Un virus de boot s'installe dans un des secteurs de boot d'un périphérique de démarrage: disque dur (le secteur de boot principal, le « Master boot record », ou celui d'une partition), disquette, ou autre. Il remplace un chargeur d'amorçage (ou programme de démarrage ou « bootloader ») existant (en copiant l'original ailleurs) ou en créé un (sur un disque ou il n'y en avait pas) mais ne modifie pas un programme comme un virus normal; quand il remplace un programme de démarrage existant, il agit un peu comme un virus « prepender » (qui s'insère au début), mais le fait d'infecter aussi un périphérique vierge de tout logiciel de démarrage le distingue du virus classique, qui ne s'attaque jamais à « rien ».

* Les macrovirus qui s'attaquent aux macros de logiciels de la suite Microsoft Office (Word, Excel, etc.) grâce au VBA de Microsoft. Par exemple, en s'intégrant dans le modèle normal.dot de Word, un virus peut être activé à chaque fois que l'utilisateur lance ce programme.

* Les virus-vers, apparus aux environs de l'année 2003, ayant connu un développement fulgurant dans les années qui suivirent, sont des virus classiques car ils ont un programme hôte. Mais s'apparentent aux vers (en anglais « worm ») car :
o Leur mode de propagation est lié au réseau, comme des vers, en général via l'exploitation de failles de sécurité.
o Comme des vers, leur action se veut discrète, et non-destructrice pour les utilisateurs de la machine infectée.
o Comme des vers, ils poursuivent des buts à visée large, tels que l'attaque par saturation des ressources ou attaque DoS (Denial of Service) d'un serveur par des milliers de machines infectées se connectant simultanément.[réf. nécessaire]

* Les virus de type Batch, apparu à l'époque où MS-DOS était le système d'exploitation en vogue, sont des virus « primitifs ». Bien que capables de se reproduire et d'infecter d'autres fichiers Batchs, ils sont lents et ont un pouvoir infectant très faible. Certains programmeurs ont été jusqu'à créer des virus Batch cryptés et polymorphes. Ce qui relève d'une vrai prouesse technique tant le langage Batch est simple et primitif.

D'autres menaces existent en informatique, s'en distinguant souvent par l'absence de système de reproduction qui caractérise les virus et les vers ; le terme de « logiciel malveillant » (« malware » en anglais) est dans ce cas plus appropriés.


Caractéristiques

* le chiffrement : à chaque réplication, le virus est chiffré (afin de dissimuler les instructions qui, si elles s'y trouvaient en clair, révéleraient la présence de ce virus ou pourraient indiquer la présence de code suspect).
* le polymorphisme : le virus est chiffré et la routine de déchiffrement est capable de changer certaines de ses instructions au fil des réplications afin de rendre plus difficile la détection par les antivirus.
* le métamorphisme : contrairement au chiffrement simple et au polymorphisme, où le corps du virus ne change pas et est simplement chiffré, le métamorphisme permet au virus de modifier sa structure même et les instructions qui le composent.
* la furtivité : le virus « trompe » le système d'exploitation (et par conséquent les logiciels antivirus) sur l'état des fichiers infectés. Des rootkits permettent de créer de tels virus. Par exemple, l'exploitation d'une faille de sécurité au niveau des répertoires permet de masquer l'existence de certains fichiers exécutables ainsi que les processus qui leur sont associés.


Logiciels antivirus

Les logiciels antivirus sont des logiciels capables de détecter des virus, détruire, mettre en quarantaine et parfois de réparer les fichiers infectés sans les endommager. Ils utilisent pour cela de nombreuses techniques, parmi lesquelles :

* la reconnaissance de séquences d'octets caractéristiques (signatures) d'un virus particulier ;
* la détection d'instructions suspectes dans le code d'un programme (analyse heuristique);
* la création de listes de renseignements sur tous les fichiers du système, en vue de détecter d'éventuelles modifications ultérieures de ces fichiers par un virus ;
* la détection d'ordres suspects ;
* la surveillance des lecteurs de support amovible : disquettes, Zip, CD-ROM, DVD-ROM

Virologie

Le terme virus informatique a été créé par analogie avec le virus en biologie : un virus informatique utilise son hôte (l'ordinateur qu'il infecte) pour se reproduire et se transmettre à d'autres ordinateurs.

Comme pour les virus biologiques, où la diversité génétique ralentit les chances de croissance d'un virus, en informatique ce sont les systèmes et logiciels les plus répandus qui sont les plus atteints par les virus : Microsoft Windows, Microsoft Office, Microsoft Outlook, Microsoft Internet Explorer, Microsoft Internet Information Server... Les versions professionnelles de Windows (NT/2000/XP pro) permettant de gérer les droits de manière professionnelle ne sont pas immunisés contre ces envahisseurs furtifs.

La banalisation de l'accès à Internet a été un facteur majeur dans la rapidité de propagation à grande échelle des virus les plus récents. Ceci est notamment dû à la faculté des virus de s'approprier des adresses de courriel présentes sur la machine infectée (dans le carnet d'adresses mais aussi dans les messages reçus ou dans les archives de pages web visitées ou de messages de groupes de discussions).

De même, l'interconnexion des ordinateurs en réseaux locaux a amplifié la faculté de propagation des virus qui trouvent de cette manière plus de cibles potentielles.

Cependant, des systèmes à diffusion plus restreinte ne sont pas touchés proportionnellement. La majorité de ces systèmes, en tant que variantes de l'architecture UNIX (BSD, Mac OS X ou Linux), utilisent en standard une gestion des droits de chaque utilisateur leur permettant d'éviter les attaques les plus simples, les dégâts sont donc normalement circonscrits à des zones accessibles au seul utilisateur, épargnant la base du système d'exploitation.


Dénomination des viru

Lors de leur découverte, les virus se voient attribuer un nom.

Celui-ci est en théorie conforme à la convention signée en 1991 par les membres de CARO (Computer Antivirus Research Organization).

Ce nom se détermine ainsi :

* en préfixe, le mode d'infection (macro virus, cheval de Troie, ver...) ou du système d'exploitation concerné ;
* un mot exprimant une de ses particularités ou la faille qu'il exploite (Swen est l'anagramme de News, Nimda l'anagramme de Admin, Sasser exploite une faille LSASS, ...) ;
* en suffixe un numéro de version (les virus sont souvent repris sous formes de variantes comportant des similitudes avec la version d'origine).

Malheureusement, les laboratoires d'analyse des différents éditeurs antiviraux affectent parfois leur propre appellation aux virus sur lesquels ils travaillent, ce qui rend difficile la recherche d'informations.

C'est ainsi que, par exemple, le virus Netsky dans sa variante Q est appelé W32.Netsky.Q@mm chez Symantec, WORM_NETSKY.Q chez Trend Micro, W32/Netsky.Q.worm chez Panda et I-Worm.NetSky.r chez Kaspersky.

Il est cependant possible d'effectuer des recherches génériques pour un nom donné grâce à des moteurs de recherche spécialisés, comme celui de Virus Bulletin ou de Kevin Spicer


Virus sur les systèmes Linux

Le système d'exploitation Linux, au même titre que les systèmes d'exploitation Unix et apparentés, est généralement assez bien protégé contre les virus informatiques. Cependant, certains virus peuvent potentiellement endommager des systèmes Linux non sécurisés.

Comme les autres systèmes Unix, Linux implémente un environnement multi-utilisateur, dans lequel les utilisateurs possèdent des droits spécifiques correspondant à leur besoin. Il existe ainsi un système de contrôle d'accès visant à interdire à un utilisateur de lire ou de modifier un fichier. Ainsi, les virus ont typiquement moins de capacités à altérer et à infecter un système fonctionnant sous Linux. C'est pourquoi, aucun des virus écrits pour Linux, y compris ceux cités ci-dessous, n'a pu se propager avec succès. En outre, les failles de sécurité qui sont exploitées par les virus sont corrigées dans les versions les plus récentes du noyau Linux.

Des scanners de virus sont disponibles pour des systèmes de Linux afin de surveiller l'activité des virus actifs sur Windows. Ils sont principalement utilisés sur des serveurs mandataires ou des serveurs de courrier électronique, qui ont pour client des systèmes Microsoft Windows.


Virus informatique célèbres


Cabir est considéré comme le tout premier virus informatique proof of concept recensé se propageant par la téléphonie mobile grâce à la technologie Bluetooth et du système d'exploitation Symbian OS.
Article détaillé : MyDoom.A.

MyDoom.A est un virus informatique qui se propage par les courriels et le service P2P de Kazaa. Les premières infections ont eu lieu le 26 janvier 2004.
Article détaillé : Psyb0t.

Psyb0t est un virus informatique découvert en janvier 2009. Il est considéré comme étant le seul virus informatique ayant la capacité d'infecter les routeurs et modem haut-débit.


Le virus Tchernobyl ou CIH est connu pour avoir été un des plus destructeurs. Il détruisait l'ensemble des informations du système attaqué et parfois il rendait la machine quasiment inutilisable. Il a sévi de 1998 à 2002.

Virus et téléphonie mobile

Le premier virus ciblant la téléphonie mobile est né en 2004 : il s'agit de Cabir se diffusant par l'intermédiaire des connexions Bluetooth. Il sera suivi d'un certain nombre dont le CommWarrior en 2005. Ces virus attaquent essentiellement le système d'exploitation le plus répandu en téléphonie mobile, Symbian OS, surtout dominant en Europe


source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_informatique

Telecharger gom player






copier puis insérer cette adresse dans la barre d'adresse puis faite entrer

http://software-files-l.cnet.com/s/software/11/11/79/69/GOMPLAYERENSETUP.EXE?e=1263491132&h=b5e5a548e54376c944735de721cae5e5&lop=link&ptype=1901&ontid=13632&siteId=4&edId=3&spi=3a6277ecb81e329292093c89232ccdf8&pid=11117969&psid=10551786&fileName=GOMPLAYERENSETUP.EXE

Memoire virtuelle

En informatique, le mécanisme de mémoire virtuelle a été mis au point dans les années 1960. Il est basé sur l'utilisation d'une mémoire de masse (type disque dur ou anciennement un tambour), dans le but, entre autres, de permettre à des programmes de pouvoir s'exécuter dans un environnement matériel possédant moins de mémoire centrale que nécessaire (ou, vu autrement, de faire tourner plus de programmes que la mémoire centrale ne peut en contenir !)

La mémoire virtuelle permet :

* d'augmenter le taux de multiprogrammation ;
* de mettre en place des mécanismes de protection de la mémoire ;
* de partager la mémoire entre processus.

Historique

L'article de référence de James Kilburn, paru en 1962, décrit le premier ordinateur doté d'un système de gestion de mémoire virtuelle paginée et utilisant un tambour comme extension de la mémoire centrale à tores de ferrite : l'Atlas.

Aujourd'hui, tous les ordinateurs ont un mécanisme de gestion de la mémoire virtuelle, sauf certains supercalculateurs ou systèmes embarqués temps réel.

lundi 11 janvier 2010

Kaspersky



Kaspersky Lab est une société spécialisée dans la sécurité des systèmes d’information, fondée par Natalya Kasperskaya et Eugène Kaspersky en 1997, proposant des anti-virus, anti-spyware, anti-spam ainsi que d'autres outils de sécurité. C'est une société privée dont le siège est à Moscou, en Russie avec des bureaux régionaux en Allemagne, en France, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, en Pologne, en Roumanie, en Suède, au Japon, en Chine, en Corée du Sud et aux États-Unis[1].

En 2005, le magazine Red Herring liste Kaspersky Lab dans sa liste des « Red Herring 100 Europe », une sélection de 100 entreprises privées en Europe et en Israël que le magazine considère jouer un rôle de premier plan dans l'innovation et la technologie.



création 1997

Fondateur(s) Natalya Kasperskaya et Eugène Kaspersky

Siège social Moscou, Russie
Activité(s) Anti-virus, Pare-feu...
Produit(s) Kaspersky Anti-Virus
Kaspersky Internet Security
Kaspersky Antivirus for Windows Workstation
Kaspersky Antivirus for File Server
Kaspersky Antivirus for Exchange Server
Kaspersky Antivirus for File Server
Kaspersky Administration Kit
Effectif 600 (août 2007)
Site Web www.kaspersky.fr


source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Kaspersky_Lab

AVG




L'antivirus AVG est un logiciel antivirus très populaire pour les systèmes d'exploitation Windows et Linux. À ses débuts en 1991, il a été développé par la société tchèque Grisoft basée à Brno, avant que les investisseurs américains de Benson Oak et Intel Capital & Enterprise Investors n'entrent dans son capital en 1995. Grisoft est devenue AVG Technologies CZ le 21.1.2008. AVG était l'acronyme des mots anglais Anti-Virus Guard, et depuis que l'entreprise s'est délocalisée pour aller s'installer aux Etats-Unis (en Floride), A.V.G. signifie Anti-Virus of Grisoft.

L'antivirus AVG est une composante de la gamme de sécurité AVG qui contient un antivirus, un anti-espions, un anti-pourriels et un pare-feu.

Le logiciel est disponible en version gratuite (graticiel) ou par abonnement.

Sommaire
1 Informations sur la version gratuite
2 Bévues
2.1 Résoudre le problème
3 Voir aussi
3.1 Articles connexes
3.2 Liens externes

Informations sur la version gratuite
Les restrictions/désavantages de la version gratuite sont :

l'utilisation commerciale n'est pas permise ;
le soutien technique n'est pas disponible ;
la vitesse de téléchargement des mises à jour est plus lente ;
le logiciel n'est pas disponible en français ;
les composantes anti-espiogiciels, anti-pourriels et pare-feu de la gamme de sécurité AVG ne sont pas disponibles dans la version gratuite (Grisoft offre aussi un logiciel anti-espions gratuit, mais celui-ci n'est plus mis à jour depuis la sortie d'AVG 8, qui intègre un anti-espions.).

Bévues
Début novembre 2008, AVG envoie à ses clients une mise-à-jour comme il le fait régulièrement. Cette mise à jour contient cependant une grave erreur : user32.dll, un fichier nécessaire au démarrage de Windows XP, a été signalé comme étant un maliciel de type cheval de Troie. L'utilisateur non-averti place donc le fichier en quarantaine informatique comme l'offre AVG, mais au prochain démarrage de l'ordinateur il aura un mauvaise surprise, Windows affichera l'écran bleu de la mort et ne pourra pas démarrer.

Résoudre le problème
Si le fichier est mis en quarantaine, des manoeuvres simples peuvent réparer le bris :

Démarrer Windows en mode sans échec (touche F8 au démarrage quand Windows n'est pas encore embarqué).
Ouvrir l'interface utilisateur AVG
Aller dans le menu Historique puis sur Quarantaine
Trouver le fichier user32.dll, cliquer droit sur la ligne puis cliquer sur Restaurer
Dans le cas où le fichier ait été supprimé, il peut être récupéré en mode 'console de réparation Windows' dans le répertoire c:\windows\system32\dllcache\.


Développeur Grisoft
Dernière version 9.0.686a1719 (19 10 2009)
Environnement Microsoft Windows, Linux, FreeBSD
Type Antivirus, Internet Security
Licence Logiciel : version gratuite et version payante
Site Web www.avg.com


source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Antivirus_AVG

avast!




avast! est un logiciel antivirus développé par la société Alwil Software située à Prague en République tchèque. Il est gratuit pour une utilisation personnelle et non-commerciale. Il se distingue par une interface innovante et moderne[réf. nécessaire].

En langue pirate (dérivé de l'anglais), le mot "avast" signifie "stop". Le nom du logiciel est donc un moyen plutôt subtil de signifier que les pirates n'ont pas la permission d'entrer.

Sommaire
1 Présentation
2 Conditions d'utilisation de la version gratuite
3 Références
4 Voir aussi
4.1 Articles connexes
4.2 Liens externes

Présentation
À la différence de certains antivirus gratuits, ses mises à jour s'effectuent automatiquement dès la connexion à Internet, à l'instar de ses concurrents payants. avast! bénéficie également d'un moteur anti-rootkit (basé sur la technologie GMER) et anti-spyware depuis sa version 4.8.1169, ce qui en fait une suite de sécurité.

avast! permet l'analyse en temps réel :

des documents ouverts, des programmes exécutés ;
des e-mails entrants et sortants ;
des fichiers envoyés et reçus par messagerie instantanée (support de tous les principaux clients) ;
des fichiers partagés sur les réseaux peer-to-peer (support de tous les principaux clients) ;
des pages web (support de tous les principaux navigateurs) ;
des tentatives d’intrusion de vers dits "Internet" ;
et dans sa version professionnelle, donc payante, avast! assure le blocage des scripts malveillants.
Malheureusement, dans le passé, lorsqu'une nouvelle infection apparaissait, Avast! était souvent parmi les antivirus les plus lents à l'intégrer dans sa base de données (généralement deux ou trois semaines plus tard, ce qui laissait à l'infection le temps de gagner de nombreux ordinateurs équipés d'Avast!). Néanmoins, avec son gain en popularité chez les utilisateurs familiaux, les mises à jour sont maintenant quotidiennes[1].

Conditions d'utilisation de la version gratuite
La version gratuite est uniquement disponible pour utilisation personnelle et non-commerciale. Cette version n'est donc pas disponible pour les institutions et les associations.

Pour utiliser le logiciel dans sa version familiale au-delà des 2 mois de démonstration, il faut demander une licence qui est valable pour 12 mois. À la fin de la période totale de 14 mois, la licence peut être renouvelée gratuitement pour une période additionnelle de 12 mois.


Développeur Alwil Software
Dernière version 4.8.1358 (4 novembre 2009) [+/−]
Environnement Windows, Linux, ...
Type Antivirus
Licence Home:Gratuite / Pro:Payante
Site Web www.avast.com




source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Avast